Jour d'orage.
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Jour d'orage.
Mots à insérer : regarde les nuages - les bras rouges - Robert qui est une - le lapin noir de...
Dans la cour de l'école, les enfants jouent. La récréation est commencée depuis dix minutes. Plus que cinq autres minutes pour récupérer le lapin noir de la classe des grands pour le remettre dans sa cage et le rentrer à l'intérieur. Pauline la maîtresse, regarde les nuages d’un air inquiet. Ils approchent à tout vitesse et deviennent de plus en plus menaçants. Si on n’arrive pas à attraper ce fichu lapin qui courre dans tous les sens dans la cour, où va-t-il pourvoir se mettre à l'abri.
Soudain Pauline pense à appeler Robert, l'homme à tout faire de l'école qui est une flèche en matière de course à pieds. Lui, il devrait pourvoir le récupérer avant l'averse de grêle qui menace et qui commence même à tomber.
Ah, ces pluies d'orage en plein été. Ici, coincé entre deux montagnes, la petite école est toujours aux premières loges pour ce genre de violence climatique.
Vite, pendant que Robert est en chasse, Pauline fait rentrer les enfants. La grêle claque de plus en plus fort sur les vitres, Robert arrive avec le lapin. Les enfants crient en le voyant, « maîtresse, maîtresse, appelle le docteur, Robert est tout abîmé ! »
En effet, les bras rouges de Robert laissent une traînée rouge sur son passage. Le combat à été rude avec le lapin noir. Un enfant se sent mal à la vue du sang. Un autre, nullement impressionné pose un doigt sur le bras de Robert et goûte.
Il faut des efforts de patience à Pauline pour ramener le calme dans la petite école.
Non c'est décidé, après celui-ci, il n'y aura plus d'autres lapins entre ces murs !
Dans la cour de l'école, les enfants jouent. La récréation est commencée depuis dix minutes. Plus que cinq autres minutes pour récupérer le lapin noir de la classe des grands pour le remettre dans sa cage et le rentrer à l'intérieur. Pauline la maîtresse, regarde les nuages d’un air inquiet. Ils approchent à tout vitesse et deviennent de plus en plus menaçants. Si on n’arrive pas à attraper ce fichu lapin qui courre dans tous les sens dans la cour, où va-t-il pourvoir se mettre à l'abri.
Soudain Pauline pense à appeler Robert, l'homme à tout faire de l'école qui est une flèche en matière de course à pieds. Lui, il devrait pourvoir le récupérer avant l'averse de grêle qui menace et qui commence même à tomber.
Ah, ces pluies d'orage en plein été. Ici, coincé entre deux montagnes, la petite école est toujours aux premières loges pour ce genre de violence climatique.
Vite, pendant que Robert est en chasse, Pauline fait rentrer les enfants. La grêle claque de plus en plus fort sur les vitres, Robert arrive avec le lapin. Les enfants crient en le voyant, « maîtresse, maîtresse, appelle le docteur, Robert est tout abîmé ! »
En effet, les bras rouges de Robert laissent une traînée rouge sur son passage. Le combat à été rude avec le lapin noir. Un enfant se sent mal à la vue du sang. Un autre, nullement impressionné pose un doigt sur le bras de Robert et goûte.
Il faut des efforts de patience à Pauline pour ramener le calme dans la petite école.
Non c'est décidé, après celui-ci, il n'y aura plus d'autres lapins entre ces murs !
claudine- Messages : 110
Date d'inscription : 16/03/2010
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