Dans la bibliothèque tous les livres ont disparus, pourquoi ?
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Dans la bibliothèque tous les livres ont disparus, pourquoi ?
La journée est presque terminée et comme d'habitude, une fois le repas avalé et la vaisselle rangée, elle descend dans sa bibliothèque. Elle adore s’installer au milieu de ses livres pour déguster son café et son carré de chocolat noir.
Elle a donc son plateau dans les mains quand elle pousse la porte.
Elle entre et avant d'appuyer sur l'interrupteur, elle se fige. Étrange comme l’atmosphère de la pièce est différente. Elle ne ressent pas la chaleur des livres qui tapissent deux murs. Elle sent comme un vide.
Toutes ces sensations n'ont durées qu'à peine trois secondes, la lumière fuse.
Le film se déroule au ralenti. Elle tourne la tête à droite, à gauche, elle revient à droite et de nouveau à gauche pour bien s'assurer quelle n'a pas la berlue, NON ! Les étagères sont vides.
Le fracas du plateau qui tombe, suivi de la tasse qui se casse, la sort de sa torpeur.
Elle erre comme une âme en peine dans la pièce. Elle essaie de réfléchir. Les murs nus lui rappellent son arrivée dans cette maison quand elle réfléchissait à son aménagement.
Après un temps indéterminé, ne sachant pas comment, elle se retrouve dans sa cuisine ?
Le plateau est là. Elle a nettoyé les dégâts et les débris de la tasse gisent sur l'évier ? Elle n'a donc pas rêvé.
Elle regarde le calendrier quelle tourne tous les matins au réveil. La date du premier mai est affiché. Il est vingt heures trente .
Le journal sur la table est daté du trois mai, celui du deux mai est dessous, pas déplié.
Elle a descendu son café le premier mai, elle en est certaine.
Que s'est-il passé depuis quarante huit heures ? Où était-elle ? A-t-elle rêvé ?
Elle descend à nouveau dans la bibliothèque. Ouvre la porte, le cœur battant.
Ses livres l’accueillent !...
Elle a donc son plateau dans les mains quand elle pousse la porte.
Elle entre et avant d'appuyer sur l'interrupteur, elle se fige. Étrange comme l’atmosphère de la pièce est différente. Elle ne ressent pas la chaleur des livres qui tapissent deux murs. Elle sent comme un vide.
Toutes ces sensations n'ont durées qu'à peine trois secondes, la lumière fuse.
Le film se déroule au ralenti. Elle tourne la tête à droite, à gauche, elle revient à droite et de nouveau à gauche pour bien s'assurer quelle n'a pas la berlue, NON ! Les étagères sont vides.
Le fracas du plateau qui tombe, suivi de la tasse qui se casse, la sort de sa torpeur.
Elle erre comme une âme en peine dans la pièce. Elle essaie de réfléchir. Les murs nus lui rappellent son arrivée dans cette maison quand elle réfléchissait à son aménagement.
Après un temps indéterminé, ne sachant pas comment, elle se retrouve dans sa cuisine ?
Le plateau est là. Elle a nettoyé les dégâts et les débris de la tasse gisent sur l'évier ? Elle n'a donc pas rêvé.
Elle regarde le calendrier quelle tourne tous les matins au réveil. La date du premier mai est affiché. Il est vingt heures trente .
Le journal sur la table est daté du trois mai, celui du deux mai est dessous, pas déplié.
Elle a descendu son café le premier mai, elle en est certaine.
Que s'est-il passé depuis quarante huit heures ? Où était-elle ? A-t-elle rêvé ?
Elle descend à nouveau dans la bibliothèque. Ouvre la porte, le cœur battant.
Ses livres l’accueillent !...
claudine- Messages : 110
Date d'inscription : 16/03/2010
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