toute une série de "flashs"
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Balade
Le ciel est bas, gris souris. Pas un souffle de vent. Le bruit de cataracte des écluses à l’aplomb de ma demeure m’attire.
Je rejoins le flot des promeneurs du dimanche en quête d’un bol d’air, sur le hallage.
D’un bon pas, je parcours les trois kilomètres qui me séparent des remparts où j’aime m’accouder pour admirer le fleuve.
Au retour, je traverse l’écluse pour retrouver un peu de tranquillité.
Déjà, il n’y a plus que le son de la rivière bientôt rejoint par celui du ruisseau qui alimente la roue du moulin tout proche, pour m’accompagner. Il a beaucoup plu et le débit de l’eau est puissant. Je m’éloigne.
Des sabots frappent le sol dans mon dos.
J’arrête, me retourne. Ils sont deux.
Un grand bai-brun et un autre bai, plus petit.
Ils m’ont vue. J’ai l’impression fugace que le grand bai brun me fait un clin d’œil en passant devant moi.
La plus jeune des cavalières me souhaite le bonjour et je lui retourne le mien en quittant à regret le regard de sa monture.
Il fait lourd. Un peu d’écume tache la cuisse du grand brun. Ils s’éloignent.
J’entre dans le bois
Le ciel est bas, gris souris. Pas un souffle de vent. Le bruit de cataracte des écluses à l’aplomb de ma demeure m’attire.
Je rejoins le flot des promeneurs du dimanche en quête d’un bol d’air, sur le hallage.
D’un bon pas, je parcours les trois kilomètres qui me séparent des remparts où j’aime m’accouder pour admirer le fleuve.
Au retour, je traverse l’écluse pour retrouver un peu de tranquillité.
Déjà, il n’y a plus que le son de la rivière bientôt rejoint par celui du ruisseau qui alimente la roue du moulin tout proche, pour m’accompagner. Il a beaucoup plu et le débit de l’eau est puissant. Je m’éloigne.
Des sabots frappent le sol dans mon dos.
J’arrête, me retourne. Ils sont deux.
Un grand bai-brun et un autre bai, plus petit.
Ils m’ont vue. J’ai l’impression fugace que le grand bai brun me fait un clin d’œil en passant devant moi.
La plus jeune des cavalières me souhaite le bonjour et je lui retourne le mien en quittant à regret le regard de sa monture.
Il fait lourd. Un peu d’écume tache la cuisse du grand brun. Ils s’éloignent.
J’entre dans le bois
claudine- Messages : 110
Date d'inscription : 16/03/2010
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