DE L’AUTRE COTE DU MIROIR

De l’autre coté du miroir, il y a Alice, et moi, je n’aime pas Alice, je n’ai jamais aimé Alice et ses merveilles. Je sais jouer aux échecs et je joue les pions avec brio, mais je ne pourrais être que la reine des truffes. Ha, l’or noir du Périgord ! Si je pouvais me vendre au prix du kilo de truffe, après un régime « obésifiant », ça mettrait du beurre dans les épinards, et pas m’importe quel beurre. Du beurre de barate, bien battu au pilon, à la main, ou encore du beurre au sel de Guérande qui croque délicieusement sous la dent. Mais je n’aime pas Alice.
De l’autre coté du miroir, il y a de l’argent, du cuivre, de l’alu pour nous réfléchir.
Ne retenons que l’argent et surtout, le cuivre…après un régime « obésifiant »….
Tout bien réfléchi, devant ce miroir ? Je vais aller de l’autre coté. Tout doucement, je ne voudrais pas le casser. Je découvrirai peut être : Claudine, au pays des auteures !