SOUS LES ROSES..........
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SOUS LES ROSES..........
Brutalement, il a frappé la vitre de la porte fenêtre.
Au bruit je suis accourue. D'abord, je n'ai rien vu. J'ai ouvert, je suis sortie. Il gisait dans la jardinière de bégonias. Je me suis baissée et je l'ai pris délicatement dans mes mains. La tête tombante, le bec entrouvert, inerte mais chaud. J'ai lissé les plumes orangées de son jabot et ce faisant, j'ai senti un léger battement. Vivant, il était vivant ! Je suis rentrée et je l'ai déposé sur un lit de coton dans une boîte. Bien au chaud à côté de la cheminée, je l'ai veillé. Le temps passait. Régulièrement je pressais un doigt sur ses jolies plumes pour sentir battre son coeur. Au matin, pensant le trouver mort, qu'elle ne fut pas ma surprise de le trouver sur ses pattes. A mon approche, il a levé la tête. J'ai avancé la main paume ouverte. IL a sauté dessus. Il regardait la fenêtre. J'ai ouvert, nous sommes sortis. Encore au chaud entre mes mains, il me regardait. Je l'ai laissé s'envoler. A partir de ce jour, j'ai eu sa visite quotidienne. Il chantait ou frappait au carreau. Je venais, main tendue. Il me picorait le bout des doigts.
A un retour de vacances, je l'ai trouvé, caché dans les bégonias.
Il repose en paix sous les roses blanches de mon jardin.
Au bruit je suis accourue. D'abord, je n'ai rien vu. J'ai ouvert, je suis sortie. Il gisait dans la jardinière de bégonias. Je me suis baissée et je l'ai pris délicatement dans mes mains. La tête tombante, le bec entrouvert, inerte mais chaud. J'ai lissé les plumes orangées de son jabot et ce faisant, j'ai senti un léger battement. Vivant, il était vivant ! Je suis rentrée et je l'ai déposé sur un lit de coton dans une boîte. Bien au chaud à côté de la cheminée, je l'ai veillé. Le temps passait. Régulièrement je pressais un doigt sur ses jolies plumes pour sentir battre son coeur. Au matin, pensant le trouver mort, qu'elle ne fut pas ma surprise de le trouver sur ses pattes. A mon approche, il a levé la tête. J'ai avancé la main paume ouverte. IL a sauté dessus. Il regardait la fenêtre. J'ai ouvert, nous sommes sortis. Encore au chaud entre mes mains, il me regardait. Je l'ai laissé s'envoler. A partir de ce jour, j'ai eu sa visite quotidienne. Il chantait ou frappait au carreau. Je venais, main tendue. Il me picorait le bout des doigts.
A un retour de vacances, je l'ai trouvé, caché dans les bégonias.
Il repose en paix sous les roses blanches de mon jardin.
claudine- Messages : 110
Date d'inscription : 16/03/2010
sous les roses
c'est très joli!
tu vois sur ce sujet, je me vois très bien écrire quelque chose de jolie, le sujet me plaît, et mon imaginaire ferait le reste.
tout à l'heure j'ai remis à manger à mes petits amis les oiseaux de mon jardin, tout le temps que je me suis affairéé, un petit rouge-gorge à peine à un mêtre de moi me regardait, pas inquiet du tout!!
tu vois sur ce sujet, je me vois très bien écrire quelque chose de jolie, le sujet me plaît, et mon imaginaire ferait le reste.
tout à l'heure j'ai remis à manger à mes petits amis les oiseaux de mon jardin, tout le temps que je me suis affairéé, un petit rouge-gorge à peine à un mêtre de moi me regardait, pas inquiet du tout!!
memere- Messages : 32
Date d'inscription : 30/03/2010
Age : 90
Localisation : deux-sèvres
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