lettre de rupture
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lettre de rupture
(33 mots à insérer)
Mon cher mari,
Sans toi ma vie aurait été un long fleuve tranquille. Notre mariage, union d’un amour de jeunesse fut… ce qu’il fut ! Sans ardeur, sans passion, sans grand enthousiasme. Cupidon n’a jamais cassé une flèche sur nos prénoms entrelacés. La fibre maternelle m’a fait faire un beau bébé avec toi et toujours avec cette intuition, ce pressentiment de ce qui se passe aujourd’hui. La nature est ainsi faite que même avec l’absence du désir on peut créer des petits anges qui nous font apprécier nos jours, nos nuits et découvrir d’autres sentiments plus forts encore. Alors pourquoi ne pas divorcer mon « biquet » puisque c’est ton surnom depuis trente ans. Ton penchant pour la luxure et la prostitution n’entre pas en ligne de compte dans cette demande qui peut te surprendre, voire semer le trouble dans ton esprit. Il faut quand même l’avouer cette sensibilité à fleur de peau qui a toujours été tienne n’est pas très glamour. Je ne reviendrai pas sur l’affectivité qui nous a liés un certain temps, pour ne pas dire un temps certain. J’ai beau retourner dans tous les sens nos années passées sur la toile de notre parcours à deux, je ne vois que cet ultime choix : le divorce.
Non, ne t’inquiète pas, ne laisse pas se former entre tes sourcils ce pli que je connais si bien au fur et à mesure que tu lis ces lignes, je ne te demanderai pas d’argent. Tu peux dormir sur ton matelas de billets, j’ai trouvé mon banquier qui lui, veut bien partager. Sur ces quelques mots, je te quitte et je t’oublie au plus vite, fais en de même !
Merci.
Mon cher mari,
Sans toi ma vie aurait été un long fleuve tranquille. Notre mariage, union d’un amour de jeunesse fut… ce qu’il fut ! Sans ardeur, sans passion, sans grand enthousiasme. Cupidon n’a jamais cassé une flèche sur nos prénoms entrelacés. La fibre maternelle m’a fait faire un beau bébé avec toi et toujours avec cette intuition, ce pressentiment de ce qui se passe aujourd’hui. La nature est ainsi faite que même avec l’absence du désir on peut créer des petits anges qui nous font apprécier nos jours, nos nuits et découvrir d’autres sentiments plus forts encore. Alors pourquoi ne pas divorcer mon « biquet » puisque c’est ton surnom depuis trente ans. Ton penchant pour la luxure et la prostitution n’entre pas en ligne de compte dans cette demande qui peut te surprendre, voire semer le trouble dans ton esprit. Il faut quand même l’avouer cette sensibilité à fleur de peau qui a toujours été tienne n’est pas très glamour. Je ne reviendrai pas sur l’affectivité qui nous a liés un certain temps, pour ne pas dire un temps certain. J’ai beau retourner dans tous les sens nos années passées sur la toile de notre parcours à deux, je ne vois que cet ultime choix : le divorce.
Non, ne t’inquiète pas, ne laisse pas se former entre tes sourcils ce pli que je connais si bien au fur et à mesure que tu lis ces lignes, je ne te demanderai pas d’argent. Tu peux dormir sur ton matelas de billets, j’ai trouvé mon banquier qui lui, veut bien partager. Sur ces quelques mots, je te quitte et je t’oublie au plus vite, fais en de même !
Merci.
claudine- Messages : 110
Date d'inscription : 16/03/2010
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